Être une Super Femme, une Super Maman, une Super Compagne, une working girl, zen qui plus est, qui passe du temps avec ses proches et en même temps prend soin d’elle, s’épanouit dans son travail, fait son activité favorite chaque semaine, se détend, rigole, profite de la vie… le rêve, non ?
Mais la vérité, c'est...
… Que bien souvent, on s’efforce d’être la Super Maman et la Super Compagne, voire la Super Salariée mais on oublie la Super Femme qu’on est ! En tant que femmes, nous sommes « génétiquement codifiées » pour prendre soin des autres. C’est écrit dans nos gênes et dans l'inconscient collectif. Alors on s’occupe : des enfants, du chéri, des parents, des amis, des collègues… et nous alors ? Ben, on verra plus tard ! Trop fatiguée ! Et puis, après tout, si les autres sont heureux, je suis heureuse aussi non ?
Et si vous ne le faites pas, vous avez peur d’être une mauvaise mère, une mauvaise compagne ou une mauvaise salariée ?
Mais que risque-t-il de se passer si vous vous oubliez un peu trop souvent ?
1/ Vous risquez de vous épuiser
Lorsque l’on est épuisée, on n’est moins patiente, moins disponible pour son enfant, son conjoint, on s’énerve plus vite. Bref, vous serez peut-être là, mais votre qualité de présence ne sera pas optimale et votre enfant risque de le ressentir et de réagir à vos propres émotions.
2/ Vous risquez de réagir fortement et de culpabiliser après
Avoir un enfant peut réveiller en nous de vieux traumatismes, des émotions refoulées, le souvenir d’événements douloureux… consciemment ou pas ! Un comportement dérangeant de votre enfant (une colère, des pleurs…) et tout cela remonte à vitesse grand V de façon incontrôlable ! Vous n’agissez plus, vous réagissez ! Les émotions non gérées prennent le pouvoir et vous sentez la colère, l’exaspération, le découragement, la frustration… monter et s’exprimer. Suivis généralement d’une grande phase de culpabilité maternelle !
3/ Vous risquez de faire porter à vos enfants vos propres blessures
Les enfants sont des éponges, c’est bien connu. Avant même de savoir parler, ils comprennent le langage non verbal, ils ressentent les émotions de leurs parents… Parents et enfants baignent dans la même énergie familiale à laquelle les petits sont particulièrement sensibles. Parfois, apaiser son enfant passe d’abord par s’apaiser soi.
« Guérir notre propre histoire nous aide non seulement à aimer nos enfants, mais leur rend la liberté d’être eux-mêmes. »
Isabelle Filliozat

GRATUIT - Défi 5 jours : 10 minutes par jour pour alléger sa charge mentale en profondeur
La charge mentale est un fléau rencontré par beaucoup de femmes et notamment de mamans qui peut mener au burn-out, la dépression, la dévalorisation de soi, etc. Mais il ne suffit pas simplement de bien savoir s'organiser et d'être la reine d'excel et des post-its pour apprivoiser cette charge. Pour l'alléger en profondeur, il faut comprendre ce qui se cache derrière elle.
Et pour ça, je vous propose un petit défi gratuit : "Défi 5 jours - 10 minutes par jour pour alléger sa charge mentale en profondeur". Ces 5 jours vous apporteront des éléments de compréhension sur votre charge mentale et des micro-pratiques pour ancrer les changements dans votre quotidien.
Alors que faire ?
Avez-vous déjà pris l’avion ? Que vous explique l’hôtesse de l’air avant le décollage ? Qu’en cas d’urgence, vous positionnez votre masque à oxygène sur vous, puis vous positionnez celui de votre enfant. « Quoi ?? Mais quelle horreur ! Je vais me faire passer en premier ! » crie notre petite voix « génétiquement modifiée ». « Pourquoi ? »
Parce que cela vous permettra d’être en forme pour prendre soin de votre enfant.
Premièrement, prenez du temps pour vous !
On ne vous dit pas d’abandonner votre enfant, hein ! Juste de prendre 10 min pour appeler une copine, aller marcher 15-20 min pour respirer, faire une activité qui vous plait… Préserver vos relations sociales, détendez-vous et relâcher la pression. Cela stimulera la sécrétion d’ocytocine dans votre corps, l’hormone de l’amour, de la joie… et lorsque l’on sécrète de l’ocytocine, on ne peut pas sécréter de cortisol, l’hormone du stress ! Bref, c’est tout bénef pour vous et votre entourage !
Deuxièmement, vous sentez la colère monter en vous ?
Revenez en vous. Poser une main sur votre nombril, une main sur votre cœur ou sur votre front, et respirez profondément. L’énergie se porte là où vous portez votre attention. Une main sur le nombril vous recentre, une main sur le front permet de stimuler la zone du cerveau qui aide à trouver de nouvelles options, une main sur le cœur connecte à l’amour… Si besoin, sortez quelques minutes de la pièce pour retrouver votre calme.
Après la tempête, prenez du recul pour observer les réactions « dérangeantes » de votre enfant et demandez-vous dans quelles circonstances il réagit ? Prenez un moment et demandez-vous ce que cette situation vous évoque ? Comment vous sentez-vous ? Laissez venir en vous les informations qui vous seront utiles pour comprendre la situation.
Troisièmement, la culpabilité, ça vous parle ? même trop bien ?
Interrogez-vous sur le niveau d’exigence que vous vous donnez. Avez-vous besoin d’être parfaite ? Que veut dire être parfaite pour vous ? Souhaitez-vous égaler / surpasser votre propre mère ?
Enfin, si besoin, faites-vous accompagner.
Faire seule un travail d’introspection n’est pas toujours aisé. La kinésiologie peut être un excellent outil pour vous aider à mettre en lumière ce à quoi votre enfant réagit en vous et à vous en libérer. Ou ce que votre enfant fait remonter en vous. La communication kinésiologique et intuitive avec bébé permettra de mettre en mots ce que votre enfant ressent. Peut-être même que sa partie sage vous invitera à initier ou poursuivre un travail de développement personnel pour vous-même car, comme le disait Françoise Dolto, « Petits, les enfants sont comme les psychothérapeutes des parents ».
Si vous en ressentez l’appel, découvrez comment je vous accompagne.