Magali FONTAINE
Kinésiologie à La Farlède

Magali FONTAINE, Kinésiologue - Energéticienne à La Farlède

Comment se libérer de la charge mentale ?


Ah, la fameuse charge mentale ! Ce terme est sur toutes les lèvres depuis quelques années, mais combien d'entre nous en mesurent réellement l'ampleur ? La charge mentale, c'est ce poids invisible qui repose sur les épaules de nombreuses femmes, d’autant plus quand elles sont mamans. C'est cette gymnastique mentale constante qui consiste à jongler entre le travail, la maison, les enfants, le conjoint, les activités personnelles, sans jamais laisser tomber une balle. Et tu sais quoi ? C’est épuisant !

Mais pourquoi, en 2024, cette charge mentale semble-t-elle toujours peser davantage sur les femmes ? Pourquoi est-ce encore elles qui, bien souvent, portent la responsabilité de tout orchestrer, anticiper, gérer ? Et surtout, comment alléger ce fardeau pour retrouver un peu de légèreté dans nos vies déjà bien remplies ? Dans cet article, plongeons ensemble dans les méandres de la charge mentale, décryptons ses mécanismes, et explorons des pistes pour l’alléger, voire s’en libérer.

Décryptage : Qu’est-ce que la charge mentale ?

Avant de chercher à alléger cette fameuse charge mentale, il est important de bien comprendre ce que c'est. Ce concept, popularisé par la dessinatrice Emma dans sa bande dessinée "Fallait demander" (tu ne connais pas ? Découvre vite, ses créations sont pleines de vérités !), désigne le fait d'avoir à penser à tout, tout le temps. Pour beaucoup de femmes, la charge mentale est omniprésente : anticiper les courses, penser au rendez-vous chez le pédiatre, prévoir les goûters, gérer les activités extrascolaires... Tout cela en plus de leur vie professionnelle et de leurs propres besoins personnels.

La charge mentale ne se limite pas à l'exécution des tâches. Il s'agit surtout de la planification, de l'organisation, du suivi. Autrement dit, même lorsqu'une tâche est déléguée, le simple fait de devoir penser à la déléguer et d'en assurer le suivi reste un poids mental. Tout est dans la tête !

Une charge féminine

Ce qui est frappant avec la charge mentale, c'est son caractère très genré. Historiquement, les femmes ont été assignées aux tâches domestiques et à l'éducation des enfants, et malgré les évolutions sociétales, une grande partie de cette charge reste sur leurs épaules. Dans de nombreux foyers, même si les hommes participent davantage aux tâches ménagères, les femmes restent souvent les "cheffes d’orchestre", celles qui organisent et s'assurent que tout fonctionne.

La double journée des mamans

Pour les mamans, cette charge mentale est souvent décuplée. Non seulement elles jonglent avec leur travail et les responsabilités domestiques, mais elles doivent aussi veiller au bien-être de leurs enfants. Cela implique de penser aux moindres détails : la tenue à préparer pour le lendemain, les vaccins à ne pas oublier, les émotions à gérer après une journée d'école, les devoirs... Et tout cela, après avoir terminé leur propre journée de travail. Beaucoup de mes collègues dans mon ancienne vie professionnelle me disaient en partant le soir : « Allez, c’est la 2e journée qui commence ! »

Les conséquences de la charge mentale

Cette accumulation de pensées, d'anticipations et d'organisations a des conséquences bien réelles sur la santé mentale et physique des femmes et peut ricocher sur la famille, le couple, les enfants…

Fatigue chronique et épuisement émotionnel

L'un des effets les plus évidents de la charge mentale, c'est la fatigue chronique. Penser constamment à tout ce qui doit être fait, prévoir les imprévus, s'assurer que rien ne tombe entre les mailles du filet... tout cela use, jour après jour. Cet épuisement, bien que souvent invisible, se traduit par un manque d'énergie, une irritabilité accrue, une instabilité émotionnelle et parfois même des troubles du sommeil.

Le fameux "burn-out maternel" en est le point d’orgue : un épuisement profond dont il est difficile de sortir sans aide psychologique et émotionnelle.

Troubles physiques

Autres conséquences possibles et fréquentes : les maux de dos. Lorsque l’on « porte tout sur ses épaules », littéralement, le corps l’exprime. Mais également, perte de cheveux, prise ou perte de poids, problèmes de peau, etc. Une autre pathologie intéressante peut être les cystites à répétition, qui peuvent même aller jusqu’à la pyélonéphrite (monter aux reins). En médecine traditionnelle chinoise, le méridien Vessie est liée à la peur de l’extérieur et aux notions de territoire. Lorsque l’on vient empiéter sur notre territoire (que l’on ne sait pas dire non, que l’on prend trop sur nous – donc dans notre espace…), des cystites peuvent apparaitre.

Perte de confiance en soi et sentiment de culpabilité

Porter la charge mentale peut aussi affecter l'estime de soi. Lorsqu'une femme n'arrive pas à tout gérer comme elle le souhaiterait (ce qui est inévitablement le cas, car nul n'est parfait), elle peut rapidement se sentir insuffisante, voire coupable. Cette culpabilité est un poison qui se nourrit de l'idée qu'elle devrait pouvoir tout faire, tout bien faire, et sans faillir.

Impact sur le couple et la famille

Enfin, la charge mentale a un impact sur les relations au sein du couple et de la famille. Les tensions peuvent naître lorsque l'un des partenaires se sent submergé alors que l'autre ne perçoit pas l'étendue de ce travail invisible. Ces déséquilibres, s'ils ne sont pas exprimés et gérés, peuvent mener à des incompréhensions, des frustrations, voire des conflits.

L’épuisement amène une baisse de son niveau de patience et de tolérance, deux qualités importantes avec les enfants. Et lorsqu’on les perd, le double effet kiscool est souvent la culpabilité et le rabaissement qui en découlent « J’ai perdu patience, je suis une mauvaise mère ». Totalement intolérable, donc soit on sombre un peu plus, soit on s’endurcit un peu plus et on renforce notre recherche de perfection. C’est le cercle infernal.

 

Si tu te reconnais dans ces descriptions, continue à lire !

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La charge mentale est un fléau rencontré par beaucoup de femmes et notamment de mamans qui peut mener au burn-out, la dépression, la dévalorisation de soi, etc. Mais il ne suffit pas simplement de bien savoir s'organiser et d'être la reine d'excel et des post-its pour apprivoiser cette charge. Pour l'alléger en profondeur, il faut comprendre ce qui se cache derrière elle.

Et pour ça, je vous propose un petit défi gratuit : "Défi 5 jours - 10 minutes par jour pour alléger sa charge mentale en profondeur". Ces 5 jours vous apporteront des éléments de compréhension sur votre charge mentale et des micro-pratiques pour ancrer les changements dans votre quotidien.

Pourquoi cette charge mentale reste-t-elle majoritairement féminine ?

T’es-tu déjà demandé pourquoi cette charge mentale reste si souvent un fardeau féminin ? Les causes sont multiples et profondément enracinées dans notre société.

Des stéréotypes de genre tenaces

Malgré les avancées du féminisme, les stéréotypes de genre persistent. Dans l'imaginaire collectif, même si les choses évoluent, la femme reste souvent associée à la gestion du foyer et des enfants. Ces stéréotypes sont encore inculqués dès le plus jeune âge, dans les jeux, les livres, les publicités... Ils influencent nos comportements, nos attentes et nos rôles au sein du foyer.

D’autre part, ces avancées sont relativement récentes, ce qui veut dire que nous avons des ancêtres assez proches de nous qui ont vécu cette séparation stricte des rôles de l’homme et de la femme et que ces mémoires transgénérationnelles peuvent nous impacter.

Inconsciemment, nous éduquons encore nos enfants, en tout cas en partie, sur une base « masculin / féminin ». Il est encore difficile pour certains parents d’accepter que son garçon joue à la poupée ou à la dinette. Inversement, il est souvent plus facile d’accepter qu’une petite fille joue au foot ou aux jeux de construction, etc. La polyvalence commence tôt.

Une société qui valorise la performance et le perfectionnisme

La société moderne valorise la performance, et les femmes, en particulier les mamans, ne sont pas épargnées. Elles doivent être des mères parfaites, des épouses dévouées, des travailleuses exemplaires. Cette quête du perfectionnisme alimente la charge mentale, car elle pousse à vouloir tout maîtriser, tout anticiper, sans jamais lâcher prise. Et en prime, elle amène beaucoup de culpabilité. 

La peur du jugement et du "lâcher prise"

Nombreuses sont les femmes qui ressentent une pression sociale à être "à la hauteur", de peur d’être jugées comme de "mauvaises mères" ou des "femmes irresponsables". Cette peur du jugement les conduit à accumuler les responsabilités, sans oser déléguer ou simplement laisser certaines choses de côté. Le "lâcher prise" est perçu comme une faiblesse, comme du « laisser faire », du « je-m’en-foutisme », du « laxisme », de la « feignantise »… alors qu'il pourrait être une véritable bouffée d'oxygène et qu’il est nécessaire à l’équilibre et au bien-être.

Les attributs du féminin

La femme, la maman, par nature, nourrit et prend soin (l’homme sécurise, protège). C’est aussi une des raisons qui nous pousse, instinctivement, à gérer tout ce qui va permettre de « nourrir et prendre soin ». Mais la charge mentale en est une dérive, elle est un extrême qui finalement peut amener à ne plus pouvoir nourrir et prendre soin, lorsque l’on est trop épuisée.

Nous y trouvons aussi notre compte

On pourrait être tenté de dire « c’est de la faute des hommes », « c’est de la faute de la société »… mais dans le fond, la responsabilité est souvent partagée. "Faire" nous permet de contrôler, d’être au courant, que les choses sont réalisées comme on le souhaite, d’être sûre que l’on ne viendra pas nous reprocher « à nous » un oubli, un manquement…

Cette charge, elle nous épuise, mais d’un certain côté, on l’aime bien quand même : elle nous rassure, elle comble le vide, elle nous permet de nous sentir utile, nécessaire, elle nous donne un rôle et donc de l’importance, parfois elle fait même partie de notre identité « je suis celle qui gère tout ».

Comment alléger sa charge mentale ?

Alléger la charge mentale est possible, mais cela demande de la prise de conscience, de la communication et un travail sur soi. Voici quelques pistes pour y parvenir.

Vouloir réellement s’en libérer

On l’a vu, la charge mentale, nous apporte des bénéfices secondaires ce qui la rend plus difficilement délogeable. Il est donc nécessaire de faire le choix conscient de vouloir s’en libérer et de lâcher ses avantages illusoires.

Car il est important également de comprendre que le revers de la médaille de la charge mentale, outre l’épuisement, est de nous faire basculer dans le « faire » et non dans « l’être ». Nous ne savons plus réellement qui nous sommes profondément. On se caractérise plus par rapport à nos actions que par rapport à qui nous sommes. Nous sommes en déséquilibre total car notre « yang », notre côté masculin, celui qui est dans l’action et contrôle, a pris toute la place, au détriment de notre « yin », qui lui est dans la douceur, le lâcher prise, la réceptivité, l’intuition.

Notre bien-être, notre réalisation ne peut passer que par un équilibre de notre masculin et de notre féminin. Les deux sont complémentaires et nécessaires. Sans « masculin », nous ne pourrions pas mettre en place dans la matière nos idées, la créativité de notre « féminin » ; sans « féminin », toutes nos actions seraient « sans âme ». Et c’est bien ce qu’il se passe lorsque notre mental prend le contrôle.

yin-yang

Un thérapeute peut être d'une grande aide pour équilibrer ces deux polarités.

Mettre en conscience les déséquilibres

Vouloir lâcher la charge mentale est une chose, mais comprendre où se situent les déséquilibres en est une autre. En effet, ce fonctionnement est tellement ancré en nous, dans notre quotidien, qu’il n’est pas toujours évident de se rendre compte qu’il n’est pas juste, qu'il est déséquilibré. La 2e étape est donc de mettre en conscience que tu as le droit de ne pas tout gérer.

Lâcher la peur du jugement de l’autre

Lâcher ta charge mentale, c’est lâcher la peur du jugement de l’autre. Car c’est elle qui la maintient en partie. C’est accepter que tout ne puisse pas être parfait, que ce soit vu comme imparfait et peut-être jugé. Et alors ?

La communication : le maître-mot

Si c’est ok pour toi de lâcher cette charge, alors l’étape suivante, c’est de la rendre visible. Il est crucial d'en parler avec son partenaire, sa famille, ses amis. Exprimer ce que l'on ressent, expliquer cette fameuse charge invisible. Il ne s'agit pas de reprocher ou de culpabiliser, mais de faire comprendre l'ampleur du fardeau pour mieux le partager. Le dialogue au sein du couple est essentiel pour rééquilibrer les responsabilités.

Faire comprendre à son partenaire qu’il est aussi responsable de la gestion de son foyer. Il n’est pas un exécutant ou un commis. Il n’est pas une aide pour toi. Vous gérez le foyer à part égale. Faites le point ensemble sur les tâches à effectuer et répartissez-les : chacun est responsable de ses tâches.

Déléguer et accepter l'imperfection

Lâcher prise, c’est aussi apprendre à déléguer, à faire confiance. Cela signifie parfois accepter que les choses ne soient pas faites exactement comme on le voudrait, et se rappeler que ce n’est pas grave.

Tiens, imagine toi dans quelques dizaines d’années, tu es une dame âgée et tu repenses à ta vie, à tes années de maman : préfères-tu te dire « ma maison était tenue d’une main de maître, je ne laissais jamais rien dépasser, pas d’erreur possible, mais qu’est-ce que j’étais fatiguée, je n’ai pas vu les années passer, mes enfants grandir… » ou « tout n’était pas parfait, mais je m’en fichais, j’ai profité de mes enfants, de ma famille, j’ai fait de mon mieux » ?

Déléguer une tâche, c'est non seulement s'alléger, mais aussi permettre à l'autre de s'investir davantage. Il nous appartient aussi en tant que femme de laisser leur place aux hommes.

Partager les tâches avec les enfants

Les enfants, dès qu'ils sont en âge de le faire, peuvent aussi participer à la répartition des tâches. Il ne s’agit pas de leur imposer des responsabilités trop lourdes, mais de les impliquer dans la gestion quotidienne du foyer, filles comme garçons (mettre et débarrasser la table, mettre les vêtements dans le bac à linge sale, faire son lit, etc.). Cela leur apprend l'autonomie, le respect du travail de chacun, qu’être maman ne veut pas dire être « femme de ménage, cuisinière, lingère… » et surtout, cela allège la charge mentale parentale…

Redéfinir ses priorités et ce qui est important

Une autre clé pour alléger la charge mentale est de redéfinir ses priorités. Tout ne peut pas être fait en même temps, et surtout, tout ne doit pas être parfait. Se poser la question : "Qu'est-ce qui est vraiment important pour moi, pour ma famille, en ce moment ?" permet de se concentrer sur l'essentiel et de laisser le reste de côté, au moins temporairement.

C’est d’autant plus important pour les mamans solos qui n’ont pas la possibilité de se reposer sur un partenaire. Si tu te dis « je dois gérer pour deux », non, fais ta part, fais ce que tu peux, du mieux que tu le peux et c’est déjà énorme. Souvent la culpabilité de la séparation est présente et on cherche à réparer auprès de nos enfants en en faisant 10 fois plus, la charge supplémentaire devient une punition… Mais ce n’est pas juste, ni pour toi, ni pour tes enfants.

Et n’hésite pas à demander de l’aide autour de toi (amis, parents,…) ou l’aide d’un thérapeute.

Des outils d'organisation : oui, mais...

Il existe beaucoup d'outils d'organisation, des astuces pour faciliter son quotidien... facilement accessibles sur internet. Ils peuvent être une aide intéressante pour prioriser, ne pas s'éparpiller et s'épuiser, faire gagner du temps. Mais si tu vis ces expériences qui te submergent, il est probable que la Vie t'invite à équilibrer ton masculin et ton féminin, à prendre soin de toi, à ralentir, à te donner la priorité, à te respecter et t'aimer... Si tel est le cas, tu peux utiliser tous les outils que tu veux, la Vie te donnera toujours plus de choses à gérer, jusqu'à ce que le message soit passé et intégré. La vraie clé sera de travailler sur toi.

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C'est pourquoi j'ai créé ce défi 5 jours, pour que tu commences par des pratiques simples et rapides à comprendre ce qui se cache derrière elle et à mettre en place des changements. 

Alors prête à relever le défi ?

Question de temps

Tu as l'impression de manquer toujours de temps, que le temps passe trop vite, que tes journées sont trop courtes pour faire tout ce que tu as à faire ? Le fait d'avoir plein de choses dans la tête, certes, la sature, mais également elle te projette soit dans ton futur (tu planifies, tu réfléchis à tout ce que tu dois faire, tu t'inquiètes de ce qui pourrait se passer...) soit dans ton passé (tu ressasses tes erreurs, tes blessures...). Donc à aucun moment tu n'es dans le temps présent. Or, c'est le seul temps qui compte. Pourquoi as-tu l'impression que le temps passe plus vite depuis que tu as 25, 30, 40 ans... ? Pourquoi l'enfance donne l'impression de passer moins vite ? Parce qu'un enfant est dans le temps présent. Il ne pense qu'à ce qu'il est en train de faire. Une chose à la fois. Retrouve ce rapport au temps de l'enfance : vide ta tête et ne fait qu'une seule chose à la fois et étant pleinement concentrée sur cette action et juste celle là. Et dis-moi comment tu te sens... 

Œuvrer pour l’avenir

En tant que parent, notre rôle est d’inculquer à nos enfants des valeurs de partage, d’entraide, de respect, de responsabilité. Apprends à ton garçon autant qu’à ta fille à gérer son espace : les filles à ne pas tout gérer, à accepter de partager ; les garçons à prendre leur part. Les enfants apprennent par mimétisme, avec des modèles. Si tu montres un modèle de couple basé sur la coopération et l’entraide, ils auront plus de facilité à le reproduire.

Quand c’est trop dur

Parfois, la situation s’est tellement installée qu’il est nécessaire de faire une pause, prendre du recul et redéfinir nos bases. L’aide d’un thérapeute peut être nécessaire pour lâcher le stress, la pression, le perfectionnisme. Il faut souvent aller déloger les racines de ces mécanismes : car au-delà de notre société et de notre éducation, des mémoires transgénérationnelles et karmiques peuvent renforcer ces fonctionnements basés sur le contrôle. N’attends pas le burn-out pour agir.


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